| Titre : |
Deux étés : roman |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Erik Orsenna, Auteur |
| Editeur : |
Paris : Fayard |
| Année : |
1997 |
| Description : |
198 p. |
| Format : |
22 cm |
| ISBN/ISSN : |
978-2-213-59903-8 |
| Prix : |
98 F |
| Langues : |
Français (fre) |
| Index. décimale : |
843.9 |
| Résumé : |
Imaginez la plus vaste des étendues bleues, saupoudrée jusqu'à l'horizon d'une centaine de rochers roses entre lesquels glissent des voiles. Au loin, l'île principale veille sur cette grande famille à fleur d'eau. En ce paradis, nous vivions de juin à septembre. Un beau jour, à deux pas de notre maison, vient s'installer Gilles, un personnage étrange. Allure de faune, métier improbable: traducteur. L'éditeur Arthème Fayard lui a confié une tâche impossible: la version en langue française du chef-d'oeuvre de Nabokov, Ada ou l'Ardeur. Bien sûr, il peine. Bien sûr, il traîne. Arthème s'énerve. Alors, l'île entière lui vient en aide. Durant deux étés, nous avons apporté à Gilles notre contribution enthousiaste et incompétente. Depuis longtemps, je voulais raconter ces deux étés. Rendre hommage à la navigation des mots, à la jalousie de la mer, à nos complicités d'alors qui n'allaient plus jamais cesser. Je sais maintenant que je dois à cette aventure d'il y a vingt ans l'apprentissage de l'enchantement. E.O. |
Deux étés : roman [texte imprimé] / Erik Orsenna, Auteur . - Paris : Fayard, 1997 . - 198 p. ; 22 cm. ISBN : 978-2-213-59903-8 : 98 F Langues : Français ( fre)
| Index. décimale : |
843.9 |
| Résumé : |
Imaginez la plus vaste des étendues bleues, saupoudrée jusqu'à l'horizon d'une centaine de rochers roses entre lesquels glissent des voiles. Au loin, l'île principale veille sur cette grande famille à fleur d'eau. En ce paradis, nous vivions de juin à septembre. Un beau jour, à deux pas de notre maison, vient s'installer Gilles, un personnage étrange. Allure de faune, métier improbable: traducteur. L'éditeur Arthème Fayard lui a confié une tâche impossible: la version en langue française du chef-d'oeuvre de Nabokov, Ada ou l'Ardeur. Bien sûr, il peine. Bien sûr, il traîne. Arthème s'énerve. Alors, l'île entière lui vient en aide. Durant deux étés, nous avons apporté à Gilles notre contribution enthousiaste et incompétente. Depuis longtemps, je voulais raconter ces deux étés. Rendre hommage à la navigation des mots, à la jalousie de la mer, à nos complicités d'alors qui n'allaient plus jamais cesser. Je sais maintenant que je dois à cette aventure d'il y a vingt ans l'apprentissage de l'enchantement. E.O. |
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